Le Petit Chose
On a tous nos intérieurs, nos petits choses.
Ce qui fait au fond de nous qu'on est tout d'même quelque chose :
Celui qui gratte ou qui s'titille,
Celui qui dort ou qui s'rabille
Le petit chose au fond d'son âme
Qui nous comprend ou qui s'pavane !
Arrête toi et viens avec moi prendre un verre !
On va parler tu vas me dire et me défaire
Les nœuds rusés que tu as semés
Mauvaises orties bien plantées !
Allez rentrons dans notre labyrinthe !
Viens ! J'ai besoin d'aide !
Je te connais, je sais, tu viens de ma famille
Je te vois dans les yeux de maman quand ils brillent.
S'ils avaient dénoué le nœud,
La chose ne serait plus dans mes yeux.
C'est incroyable de se sentir
Passer la main vers l'avenir !
On a tous nos intérieurs, nos petits choses.
Ce qui fait qu'une lutte peut être quelque chose.
Souvent je m'attendais moi-même
Me disant il faut que tu viennes !
Il faut que tu viennes de toi-même tu sais,
J'ai autre chose à faire !
Alors je t'évacue, d'un geste de la main,
Te ramène à la porte, te montre le chemin.
Mais tu es revenu à la chaîne !
Et je suis passé de la haine,
De la haine à l'indifférence, de l'indifférence à l'errance.
Et tu sais, le jour où la vie m'a lâché,
J'ai senti sa présence, il m'a raccompagné...
J'ai compris c'était pour la prochaine,
Que dans l'autre vie j'emporterai mon problème
Je me souviens de cette fille
Qui apprenait à me dire "je t'aime" !
Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes
Qui voudraient jamais revenir
De peur hélas de reproduire,
De reproduire la même chose leur seul exemple sur la terre !
Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes
Qui voudraient jamais revenir
De peur hélas de reproduire,
De reproduire la même chose leur seul exemple sur la terre !
Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes
Qui voudraient jamais revenir
De peur hélas de reproduire,
De reproduire la même chose !
Le Saule
Déchiré par le vent, usé par le temps
Tu es déjà passé devant, un vieux merle vit dedans
Abimé par les enfants, délaissé par les parents
Encerclé de bâtiments, arrosé de temps en temps
Il meurt, n'exprime pas sa douleur
Entre le froid et la chaleur l'échap'ment des moteurs
Il crève, puise dans sa sève, pour que ses branches s'élèvent
Avant que le temps ne les achève
Taillé par les couteaux, dépouillé de sa peau
Mi-arbre, mi-copeau de vingt mètres de haut
Nourri de pluies acides, lavé à l'insecticide
Au milieu du grand vide, sa vie on la décide
Il meurt, n'exprime pas sa douleur
Entre le froid et la chaleur l'échap'ment des moteurs
Il crève, puise dans sa sève, pour que ses branches s'élèvent
Avant que le temps ne les achève
Abrité sous les feuilles, voisin d'un écureil
Le vieux merle se recueille sur sa maison et son deuil
Comment vont vivre ses enfants ?
Qui les abritera du vent ?
Que peut-il faire maintenant pour celui qui en ce moment
Meurt, n'exprime pas sa douleur ?
Entre le froid et la chaleur l'échap'ment des moteurs
Il crève, puise dans sa sève, pour que ses branches s'élèvent
Avant que le temps ne les achève
Mam'selle Bulle
Mam'selle Bulle avait un rêve un peu spécial
Pour une bulle quitter la Terre c'est peu banal
Mam'selle Bulle...
Comme un funambule qui rêverait de s'envoler...
A l'envol d'un ballon Bulle s'est accrochée
Championne de l'aviation Bulle commence à s'élever
Aux dessus des arbres un alpiniste anglais (Hello!)
Lui indique le haut de la montagne
Mademoiselle n'est pas rassurée
Elle se demande où le ballon se dirige
Mademoiselle tout en haut avez vous le vertige?
Mam'selle Bulle avait un rêve un peu spécial
Pour une bulle quitter la Terre c'est peu banal
Mam'selle Bulle...
Comme un funambule qui rêverait de s'envoler...
Balayée par un vol d'hélicoptères
C'est fou le nombre d'habitants qu'on peut croiser en l'air
Guidée par les planeurs, le bourdon d'un ULM
Qui tire derrière lui un drapeau avec écrit: Je t'aime (je t'aime!)
Dire bonjour aux avions, croiser des hôtesses de l'air (bonjour!)
Des colombes, des pigeons battant des ailes à l'envers
Mam'selle Bulle traverse les nuages
Enfile un pull, il fait froid au-dessus des orages
Mam'selle Bulle...
Comme un ver luisant qui rêverait d'un feu follet
Mam'selle Bulle tourne la tête en arrière
Elle aperçoit un point qui ressemble a la Terre
Faut faire vite une bulle ça peut éclater
Elle croise Spoutnik le satellite qui lui a tout a expliqué
Mam'selle Bulle n'est pas très noctambule
N'a pas prévu dans son paquetage
Qu'il ferait noir dans les nuages
Mam'selle Bulle...
Comme un papillon de nuit vers l'étoile qui l'éblouit
Au ciel étoile Bulle s'est accrochée
Et c'est dans la voie lactée que Mam'selle décida d'habiter
Ainsi dans le ciel depuis des millions d'années
Madame la Terre observe cette bulle illuminée
Chaque soir quand la nuit vient à tomber
Mam'sellle Bulle sur nous veille jusqu'à ce que le soleil l'interpelle
Mam'selle Bulle!
(Oh la lune! eh! la Lune! c'est le soleil qui te parle oh)
Mam'selle Bulle
(Laisse la place il faut que se lève le jour )
Comme un funambule qui rêverait de s'envoler
Mam'selle Bulle avait un rêve un peu spécial
Pour une bulle quitter la Terre c'est peu banal
Mam'selle Bulle... (Qu'est ce que tu fais)
Comme un funambule qui rêverait de s'envoler...
(Cadavre)
Mam'selle Bulle avait un rêve un peu spécial
Pour une bulle quitter la Terre c'est peu banal
Mam'selle Bulle... Comme un funambule qui rêverait de s'envoler...
Mam'selle Bulle...
Monsieur Bibendum
Tout le monde cherche,
un ptit coin d'paradis
qu'on ai un gros derche
ou un tout rikiki.
On l'a pas choisit cela dit,
il faut faire avec.
Ouai c'est ce que dit mon voisin,
qu'est pas un beau mec.
Et son nom c'est...
{Refrain 1:}
Monsieur Bibendum,
il est vraiment énorme.
Monsieur Bibendum,
il est pas dans les normes.
Ses 110kgs soyez sûrs,
C'est pas du mac do.
Plutôt épicurien
qu'autre chose.
Voilà son crédeau.
Son nom c'est...
{Refrain 2:}
Monsieur Bibendum,
c'est un sacré bonhomme.
Monsieur Bibendum,
le bonheur en personne.
Il en a plus qu'assez,
de feuilleter les magasines
qui voudraient l'faire complexer
sur la beauté masculine.
J'ai pas l'temps d'm'apitoyer
Sur mon nez tordu
ni sur celui qui rit
à le vue d'mon gros cul,
j'promène ma bedaine
et quoi qu'il advienne,
elle plait à ma femme
et ça c'est bien ma veine !
Mais comment assumer,
dans un monde si parfait,
son petit pet de travers
Oh mon dieu
Quelle affaire !
Tout le monde cherche
Un ptit coin d'paradis
et si yen a une qui a du flair,
à mon avis c'est bien lui
son nom c'est...
{au Refrain 1}
Ses 110kgs, soyez-sûrs
qu'ça freine pas sa libido.
Si vous saviez l'bruit qu'sa femme fait
quand elle grimpe au rideau.
{au Refrain 2}
marjo le 26-04-2006 à 22:30:58 #
même si la chanson est faite plein d'humour, j'aime cette chanson parce que c'est manu qui la chante. Ce skyblog est supet ! tcho
Pompafric
Ouh ouh, ouh oué ouh {x2}
{Refrain:}
J'ai toujours eut,
de l'admiration pour vous.
J'ai toujours sût,
que vous seriez avec nous.
Je vous emmène,
dans nos nouvelles colonies
à l'africaine.
Aux prédateurs tentaculaires,
Aux boulimies monopolistes,
Aux technocrates mercenaires,
quand la finance à ses artistes.
Aux terrains de jeux au soleil,
Aux chaises longues pour politiques,
Bolor et Bouygues,
Vivendi, Elf,
se servent sur la pompafric.
Bolopoly, bolo réseau,
bolo et voyage au Congo
boloré crée son arsenal,
rejoint la cour du Général !
Bolocratie, bolo la pieuvre
regarde les devises qui pleuvent.
Quand Bolo se roule un tarpé,
il ouvre une usine OCB !
{au Refrain}
Ouh ouh, ouh oué ouh {x5}
Mitérant était mon papa,
j'pars en colo en Angola,
je connais tous les moniteurs,
richissimes archi corrupteurs.
Y'a des armées désœuvrées,
qui, méritent qu'on leur tienne compagnie.
Nous on fait la guerre en musique,
on fait chanter la République.
France / Afrique
l'immaculée, intérêt, pet trop meurtriers.
Pendant que l'Angola se viole,
nous on fait l'amour dans l'pétrole.
Guinée, Tongo, Bisso, Biafra,
On est mouillés jusqu'au Ruanda,
on a dopé vos dictateurs.
Vous voyez qu'la France à du cœur !!!
{au Refrain}
Si on écoulait notre vache folle,
sur le marché du Nigeria,
à deux francs le kilo
c'est du bol !
J'pourrais partir aux Bahamas,
mon banquier me trouve un peu pâle,
mon compte à besoin de soleil,
faut que je trouve un paradis fiscal
où me détendre les orteils.
Paradis, refuge planétaire,
pour porte-feuille de mercenaire,
pour autre pilleur de l'Afrique
ou pour fumiers démocratiques.
Elles ont belles gueule nos colonies,
Bizarre Elf c'est fait griller.
Il faut balancer la politique africaine de l'Elysée !!
{au Refrain}
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